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18 octobre 2024

FIRAF 2022: Levée de rideau pour les masters class MoJo et JsC


La 3ème édition du Festival international des Radios d’Afrique francophone (FIRAF) a débuté ce 07 février à la maison de la Culture Msg Titiama Sanon de Bobo Dioulasso, avec des masters class en Mobile Journalisme (MoJo) et en Journalisme sensible aux Conflits (JsC). La cérémonie d’ouverture de ces sessions de formations a eu lieu en présence du commissaire général du FIRAF Abdoulaye Ouattara et de la Directrice du développement et du suivi des médias Mme Romaine Raïssa Zidouemba, représentant la Direction Générale des Médias (DGM-ministère en charge de la communication).

Près de quatre-vingt (80) d’étudiants et journalistes issus de médias locaux, des écoles de communication et instituts privés participent à ces masters class du FIRAF 2022. Pendant 48H, ils vont acquérir les connaissances et compétences sur les techniques et règles du journalisme mobile et du Journalisme sensible aux conflits. La formation est dispensée par le Formateur RIJ Mohammed NACANABO et la Directrice du développement et du suivi des médias, par ailleurs coordonnatrice du RIJ Romaine Raïssa Zidouemba.

Séance MoJo

La tenue de ces masters-class est le fruit d’une coopération entre le commissariat général du FIRAF et le Réseau d’Initiatives de Journalistes (RIJ). L’appui du RIJ s’inscrit dans le cadre de son Projet « Appui aux médias pour la prévention et la gestion des conflits, projet soutenu par la Deutsche Welle Akademie (DWA).

La troisième édition du Festival international des radios de l’Afrique de l’ouest francophone (FIRAF) qui a ouvert ses rideaux ce 7 février se tient jusqu’au 13 février prochain. Elle sera marquée par des conférences, des panels et un concours radiophonique.
En rappel, le FIRAF 2022 est placée sous le thème : « Radio et insécurité en Afrique de l’Ouest : quelle contribution de la radio dans la gestion des déplacés internes ? ». Selon le commissaire général du FIRAF, Abdoulaye Ouattara, le thème de cette année a été choisi au regard de la montée de l’hydre terroriste, ayant occasionné « plus de 2 millions de déplacés internes ».

Il s’agit donc de voir dans quelles mesures on peut renforcer les capacités des journalistes dans le processus de traitement de l’information afin qu’ils puissent contribuer positivement au changement des conditions de vie des Personnes déplacés interne (PDI) qui vivent dans le désarroi dans leur propre territoire », a laissé entendre M. Ouattara.

RIJ

By Ib_Z

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